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Label peu connu chez nous : Challenge Records, fondé par un groupe d’investisseurs dont le célèbre (pour ceux qui...

Chalenge Records : Charles Lamont and The Extremes ''I’ve Got To Keep Movin''

Réédité conjointement aux Etats-Unis et en Angleterre, voici un joyau estampillé northen soul, un groupe qui nous vient...

Amateurs de soul, un morceau d’Eric Mercury and The Soul Searchers est republié

Un label peu connu de Los Angeles : Money Records (et ses déclinaisons Cash, Ball et Hollywood), va faire battre le cœur...

De la musique soul avec la chanteuse Bettye Swann et le label Money Records

Les covers, les reprises, les adaptations…, de quoi s’amuser des heures à comparer les versions, à dénicher...

''Mr. Pitiful'' d’Otis Redding et Steve Cropper par Etta James

Un peu de soul music mod’s anglaise typiquement sixties, avec cette jeune vedette appelée Carol Hedges, mais qui sera...

Billie Davis et la soul music mod’s anglaise

Peu le connaissent outre-Atlantique, pourtant, voici un artiste qui a laissé une empreinte indélébile dans l’histoire...

Barrett Strong, la machine à tubes de la soul music

C’est aussi un destin tragique : Billy Stewart, pianiste, jazzman et chanteur de soul décédé en janvier 1970.

Né à...

Billy Stewart, la voix la plus étonnante de la soul music

Lady Marmelade fut dans les années 70 un énorme succès ! Succès crossover entre soul et disco, dont Bob Crewe et Kenny...

The Bluebelles, de la soul music et du funk bien avant Lady Marmelade

Direction Cincinnati, Ohio, on s’arrête sur le label King Records, fondé en 1943 par Syd Nathan. Le label a commencé...

King Records et le rythm and blues façon The 5 Royales

Save My Soul

Label peu connu chez nous : Challenge Records, fondé par un groupe d’investisseurs dont le célèbre (pour ceux qui s’intéressent à l’histoire de la country music) Gene Autry, le cow-boy chantant. La première version du logo Challenge contenant d’ailleurs les initiales G.A. Challenge Records, label américain, fondé en 1957 par un groupe d’investisseurs dirigé par le célèbre "Cowboy Chantant" Gene Autry, et dont les initiales "GA" apparaissaient dans la première version du logo. Gene Autry voulait à l’origine nommer la société Champion Records, d’après son cheval préféré, mais le nom appartenait déjà à Decca Records. Parmi leurs artistes : The Extremes, fondé un 1961 par Bobby Sanders et Charles Ingersoll (Van Clayton) d’anciens étudiants de la Dorsey High School de Los Angeles, établissement d’où sortira Mike Love des Beach Boys et Marylin McCoo de Fifth Dimension. Le quatuor pratique le doo wop, le r’n’b et la soul. Ils sont à la fois accompagnateurs (notamment pour la chanteuse Linda Carr) et aussi groupe de studio pour les productions de Phil Spector. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Save My Soul vous replonge dans cette époque, entre 60’s et 70’s, où le 45 tours était roi.

Redécouvrez les titres emblématiques que les disc-jockeys faisaient tourner dans les soirées Northern soul.

Des disques rares et parfois inconnus, des trésors oubliés de la soul music américaine, des disques qui sont aujourd’hui des objets de collection…

Save My Soul avec Jean-Yves Louis, le lundi à 13h45 et en podcast via classic21.be.

Save my Soul

Chalenge Records : Charles Lamont and The Extremes ''I’ve Got To Keep Movin''

Réédité conjointement aux Etats-Unis et en Angleterre, voici un joyau estampillé northen soul, un groupe qui nous vient du Canada : Eric Mercury and The Soul Searchers, et qui, en 1968, sort ce titre ''Lonely Girl''. Avis aux collectionneurs de 45 tours de soul music, si vous souhaitez étoffer votre collection de manière raisonnable, sans dépenser des sommes folles en originaux ultra-rares, il faut vous tourner vers les rééditions. Les grands labels comme Stax ou Motown, republient souvent certains trésors, on se souvient du classique de Frank Wilson ''Do I Love You (Indeed I Do)''. Eric Mercury, issu d’une famille venant des Caraïbes, va très vite quitter la Canada pour New-York en 1968, puis la Californie dès les seventies, avant le retour à Big Apple à la fin des années 70. Il travaillera aussi pour Roberta Flack and Donny Hathaway et posera sa voix sur de la publicité bien lucrative. ''Lonely Girl'' en 1968, réédité grâce à Big Man Records. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Un label peu connu de Los Angeles : Money Records (et ses déclinaisons Cash, Ball et Hollywood), va faire battre le cœur musical afro-américain de la Californie. Fondé à l’aube des années 50 par le couple John et Ruth Dolphin, des entrepreneurs noirs de L.A. qui tenaient deux magasins de disques dans le quartier de South Central, appelés Dolphins Of Hollywood. De 1956 à 1957, ils produisent Joe Houston, The Hollywood Flames ou encore Grady Chapman. Au milieu des années 60, Ruth Dolphin fait revivre le label Money. Le clap de fin se fait finalement entendre en 76. Le label Money des années 60 sera le plus prolifique en termes de soul music, avec notamment la chanteuse Bettye Swann. Né en 1944 en Louisiane, Bettye rencontre le succès dès son premier titre chez Money en 1967 : ''Make Me Yours'' et en 1967 ''Don’t Take My Mind''. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Focus sur le classique ''Mr. Pitiful'' composé par Steve Cropper et Otis Redding. Cette première collaboration entre Otis Redding et Steve Cropper, était en fait un remontage de bretelles envers Moohah Williams, un présentateur radio de Memphis, qui déclara à l’antenne qu’Otis Redding était "pitoyable" lorsqu’il chantait des ballades. Publié en décembre 1964 chez Stax à Memphis, ''Mr. Pitiful'' va, lui aussi, connaître un fameux destin. La Californienne Etta James, depuis ses débuts en 1954, s’est taillé une belle réputation. Miss Peaches (son surnom) était aussi à l’aise dans le jazz, que dans la soul ou le R’n’B. C’est d’ailleurs grâce à la reprise d’un classique des années 40 qu’elle va connaître la gloire. Ce titre : ''At Last'', sera, lui aussi, repris dans le film ''Cadillac Records''. Le long-métrage à la gloire des studios Chess mettait en scène une Etta James sublimée par Beyoncé, cette dernière chantant ''At Last'' de manière bouleversante… Reprise toujours, en 1969, sur Cadet Records (filiale de Chess), Etta James s’empare du revanchard ''Mr. Pitiful'', et l’accommode à sa sauce. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

''Mr. Pitiful'' d'Otis Redding et Steve Cropper par Etta James

---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Billie Davis - Make The Feeling Go Away

Peu le connaissent outre-Atlantique, pourtant, voici un artiste qui a laissé une empreinte indélébile dans l’histoire de la soul music. Disparu le 28 janvier dernier, Barrett Strong fut d’abord chanteur de soul et de R’n’B. Né en 1941 à West Point, Mississippi, il a commencé sa carrière musicale à Detroit dans les années 50, où il a collaboré avec le légendaire producteur Berry Gordy. Barrett Strong a été l’un des premiers artistes à signer chez Motown Records, où il a enregistré certains de ses plus grands succès, comme "Money (That’s What I Want)" en 59, devenu un classique du genre et repris par de nombreux artistes de renom. Le tandem Strong/Whitfield va composer pour les stars de la soul comme Edwin Starr, Gladys Knight, les Isley Brothers, Marvin Gaye et surtout les princes de soul : les Temptations, comme ''Papa Was A Rollin’Stone'', avec pas moins de 91 versions ! Voici l’un de ses succès : ''I Can’t Get Next To You'', publié chez Gordy en juillet 1969, un titre qui sera repris, lui aussi, de nombreuses fois : Al Green, les Osmonds, Texas, Annie Lennox, Dee Dee Bridgewater ou encore le sampling de Public Enemy. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

C’est aussi un destin tragique : Billy Stewart, pianiste, jazzman et chanteur de soul décédé en janvier 1970. Né à Washington D.C. le 24 mars 1937, Billy Stewart va embrasser une carrière musicale très jeune. Il chante dès ses 12 ans, monte un groupe avec ses frères puis rejoint le groupe local The Rainbows dans lequel officie la future star de la soul Don Covay. Le petit groupe The Rainbows lui offre deux rencontres : Marvin Gaye (jeune espoir de la musique noire américain) et Bo Diddley qui décèle le talent musical de Billy Stewart. En 66, Billy Stewart sort l'album ''Unbelievable'', le premier single est une reprise presque insolente du classique de George Gershwin ''Summertine'', dans lequel Billy Stewart va démontrer toute sa richesse vocale. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Lady Marmelade fut dans les années 70 un énorme succès ! Succès crossover entre soul et disco, dont Bob Crewe et Kenny Nolan sont à l’origine, le titre va enflammer les dancefloors, grâce à la version du groupe féminin LaBelle. Et derrière ce nom, se cache quelques solides chanteuses, actives depuis les années 60, avec notamment Sarah Dash, Nona Hendryx et Patti LaBelle ! ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le lundi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Direction Cincinnati, Ohio, on s’arrête sur le label King Records, fondé en 1943 par Syd Nathan. Le label a commencé en publiant de la musique country et du bluegrass, mais très vite, a élargi son offre pour inclure au catalogue du R’n’B, du rockabilly, du gospel et du jazz. En somme, un label précurseur, ce qui a permis à King Records d’attirer une variété de talents musicaux. Il a signé des artistes tels que James Brown, Hank Ballard, les Dominoes, et aussi, The 5 Royales. A noter que King Records a été le premier label à sortir un album de James Brown, l’un des artistes les plus importants de l’histoire de la musique noire américaine. King Records s’est éteint en 1975, mais a laissé derrière lui une quantité de disques qui sont encore appréciés de nos jours. De nombreux artistes qui ont enregistré pour le label ont été introduits au Rock and Roll Hall of Fame et King Records est considéré comme l’un des plus importants de l’histoire de la musique américaine. The 5 Royales, groupe mélangeant doo-wop, R’n’B et gospel, il se lance en 1953 à Winston-Salem, Caroline du Nord. Composé de solides musiciens comme Lowman Pauling, ils ont été très influents dans la popularisation de la guitare électrique dans le R’n’B. Le groupe, qui a connu un joli succès dans les années 1950 et 1960, c’est finalement dissous en 1968. A noter, là aussi, que les 5 Royales ont été introduits au Rock and Roll Hall of Fame en 2015. Ils restent, encore aujourd’hui, l’un des plus importants groupes de doo-wop de la fin des années 1950 et début des années 1960… ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Stax Records, label incontournable de la soul et du funk des années 1960 et 1970, a été un lieu de rencontre pour les musiciens de la région de Memphis. L’aventure musicale de Stax durera jusqu’en 1975. Avec la sortie du dernier album du groupe North Mississippi Allstars, nous avons découvert avec surprise, que William Bell était toujours "bon pied, bon œil". A 83 ans, le voici en guest sur le dernier album des frères Dickinson ''Set Sail''. Nous apprenions en décembre 2022, le décès de Jim Stewart, fondateur du label Stax Records, qu’il a créé avec sa sœur, Estelle Axton, en 1957 à Memphis. Sous sa direction, le label a lancé des artistes légendaires tels que Otis Redding, Sam and Dave, Isaac Hayes ou encore The Staple Singers. Une bonne occasion pour se replonger à la fois sur la musique de William Bell et sur le label Stax avec le 45 tours ''My Baby Specializes'' de 1968 produit par Isaac Hayes et David. Il y chante en compagnie de Judy Clay, une chanteuse initiée au gospel qui fut recueillie par Lee Drinkard Warrick, le père de Dee Dee et Dionne, renommée Warwick… ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

William Bell sur le label Stax ''My Baby Specializes'' avec Judy Clay

Retour sur un succès mondial de la Motown. La firme de Detroit s’appelle Tamla Motown pour l’international. Initié en 1964 par Dave Godin et avec la bénédiction de Berry Gordy, Tamla prend son envol au Royaume-Uni et les premières sorties ont lieu en 1965. Les stars de Detroit comme Marvin Gaye, Stevie Wonder ou encore Diana Ross sont désormais disponibles en pressage anglais. Ce sera également le cas d’Edwin Starr, né à Nashville, TN en janvier 1942. Il sera d’abord, et comme beaucoup à l’époque, membre d’un groupe de doo-wop The Future Tones et sort ses premiers disques en solo dès le milieu des années 60 sur le label Ric-Tic. Parmi ceux-ci ''Twenty-Five Miles'' et ''Agent Double’O’Soul'' titre faisant référence à James Bond. Irrité par le succès insolant du petit label Ric-Tic, Berry Gordy parvient à racheter le label, faisant d’Edwin Starr la prochaine machine à tube de Motown. Edwin Starr fut une figure très importante de la scène northern soul anglaise, et ses 45 tours sont toujours dans les playlists des disc-jockeys spécialisés, même aujourd’hui. Installé en Grande-Bretagne, il est victime d’un infarctus, il décède en avril 2003, à son domicile proche de Nottingham. Retour sur son succès de 1970 "Time", Edwin Starr produit et coécrit avec le pianiste Richard "Popcorn" Wylie et c’est Wade Marcus qui s’occupe des arrangements. "Time", classique absolu de la scène northern soul, garder l’espoir, avant que ce monde qui est le nôtre soit en mauvais état… A méditer. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

"Time" d’Edwin Starr un succès mondial pour la Motown

Voilà un personnage haut en couleur dont nous allons brièvement évoquer la carrière : Amos Milburn. Le Texan, né le 1er avril 1927 à Houston va très vite se faire connaître grâce à son don pour le piano, un don qu’il cultive à l’église le dimanche, mais cette période sage et vertueuse ne dure qu’un temps. Il va découvrir le boogie-woogie dans les maisons closes, et va pratiquer cette forme musicale plus rythmée que le blues, dans des endroits comme les clubs et les barrel houses. Amos Milburn se fera très vite connaître pour ses chansons célébrant l’alcool. Dès 1948, il obtient le succès et devient très vite un artiste réputé, influençant au passage Fats Domino et Little Richard. La chandelle brûle par les deux bouts, rendu infirme après deux attaques et une amputation, il décède le 3 janvier 1980 à l’âge de 52 ans. Le label King, une maison de disques de Cincinnati dans l’Ohio, active entre 1948 et 1968 qui va sortir des disques d’artistes comme James Brown, le pianiste Bill Doggett, le chanteur hillbilly Moon Mullican, Hank Ballard (dont la sœur Florence était membre des Supremes). Amos Milburn avec ''Christmas (Comes But Once A Year)''. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Noël avec Amos Milburn, pianiste et chanteur de rhythm and blues

Voici un album qui est, sans doute, le cadeau idéal à placer sous le sapin pour les fêtes de fin d’année. Un album qui devrait fait plaisir aux fans de rock, mais aussi de soul, et que l’on écoutera bien au-delà des réveillons : ''Only The Strong Survive'' est le 21e album du Boss et c’est un événement. Il vient de sortir il y a quelques semaines et constitue une fameuse plongée dans l’univers de la soul music classique. Des reprises donc, d’artistes connus comme les Four Tops ou les Temptations et d’autres moins connus du grand public, mais des artistes qui vous sont familiers si vous suivez cette séquence comme : Dobie Gray, Tyrone Davis, Jimmy Ruffin ou Frank Wilson. Pour accrocher le public, le single faisant office de locomotive s’appelle ''Do I Love You (Indeed I Do)'' et fut à l’origine un single de Frank Wilson, pressé en 1965. Loin des classiques de Marvin Gaye ou des Supremes, ce single est pourtant un monument de la soul, grâce à son incroyable histoire. Engagé comme compositeur pour la branche californienne de la Motown, Franck Wilson sera bien vite rapatrié à Detroit et va écrire une foule de titres pour le gratin de la soul de l’époque. Frank Wilson va aussi chanter, c’est ainsi qu’est pressé ''Do I Love You (Indeed I Do)''. Perplexes quant au résultat, Wilson et Berry Gordy feront détruire les 250 copies du disque. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

''Do I Love You (Indeed I Do)'' de Frank Wilson à Bruce Springsteen

Le label Red Bird Records, un petit label qui va propulser onze de ses trente premiers singles dans le Top 100 américain. A commencer par le fameux "Chapel Of Love" du groupe féminin The Dixie Cups en 1964 ! ''Merry Christmas Baby'' The Poets ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le lundi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Red Bird Records et The Poets

Elle fut, tour à tour, star du disco, icône de la soul music et chanteuse de jazz à la tessiture remarquable… ''Brother Who Are You'' ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le lundi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Marlena Shaw

Retour sur l’année 1964 avec le premier succès du band The Artistics : " Get My Hands On Some Lovin’" et le label Okeh Records. Le groupe vocal est formé en 1958 par quelques étudiants fréquentant la Marshall High School de Chicago et dès 1960, lors d’une convention du Parti Démocrate, ils chantent en backup pour Major Lance. Carl Devis, producteur chevronné s’occupe déjà de Major Lance et de Jackie Wilson, flaire le bon coup, signe les jeunes gens chez Okeh Records et leur ouvre la cour des grands ! Le premier succès des Artistics sort en 1964, " Get My Hands On Some Lovin’" est écrit par Marvin Gaye. C'est un morceau que Marvin avait enregistré en 1962. Le prince de la soul, le prince de la Motown, Marvin Gaye la superstar… ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le lundi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Le label Soul Okeh Records, Marvin Gaye en tant qu'auteur et The Artistics

Difficile de résumer en quelques lignes la carrière musicale de Curtis Mayfield tant l’homme, surdoué, a touché à tout et laissé une empreinte indélébile dans la soul music, le rhythm’n’blues et aussi le funk… Chanteur, guitariste, compositeur, producteur, patron de label, et aussi ardent défenseur du mouvement des droits civiques… Voilà en quelques mots le portrait de ce natif de Chicago, né le 3 juin 1942 qui va très vite montrer d’indéniables talents pour la musique. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Curtis Mayfield

Chanteur, guitariste, compositeur, producteur, patron de label, et aussi ardent défenseur du mouvement des droits civiques… Voilà en quelques mots le portrait de ce natif de Chicago, né le 3 juin 1942 qui va très vite montrer d’indéniables talents pour la musique. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le lundi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Curtis Mayfield and The Impressions - Fool For You

C’est un label assez important qui nous intéresse aujourd’hui, retour au début des années 60 chez Wand Records !

Publiant un peu de rock, mais aussi du r & b et beaucoup de soul music, Wand Records deviendra un label très prisé des dj’s et amateurs de northern soul.

Wand va ainsi presser les 45 tours de Chuck Jackson, The Isley Brothers, Maxine Brown, Brenton Wood, Bobby Bland ou encore Roscoe Robinson.

Malgré cette imposante liste d’artiste, Wand Records reste une filiale, une division d’un autre label : Scepter Records.

Chose étonnante pour l’époque, c’est une femme qui allait propulser Scepter sur le devant de la scène.

Florence Greenberg, c’est d’elle qui s’agit, était déjà, durant les années 50, une business woman de l’industrie musicale.

En vendant son petit label Tiara Records et les droits du groupe The Shirelles à Decca, elle lance pour 4000 $ Scepter Records en 1959.

Il se murmure d’ailleurs que le petit groupe féminin The Shirelles va faire un bide chez Decca, Florence Greenberg re-signera le groupe !

Florence Greenberg prend une retraite bien méritée en 1976, après avoir signé des artistes comme Dionne Warwick ou Tommy Hunt et diversifié son catalogue et les différentes filiales de Scepter.

Wand, de 1961 jusqu’au début des années 70 va s’imposer comme un très bon label à New-York, tout comme Ric Tic à Détroit, et devient un incontournable de la soul music.
Dans le catalogue, on remarque quelques noms comme Tammy Montgomery, en fait Tammi Terrel, qui fait un petit-faux bond à la Motown en sortant quelques titres chez Wand, la chanteuse et actrice Nella Dodds, le très étonnant combo Moving Sidewalks (un groupe de blues rock psychédélique de Houston avec un certain Billy Gibbons, futur ZZ Top) et puis le trop méconnu John Steel & The Del Mates qu’on écoute avec ce titre The Fat Man !

---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

L'histoire du label du début des 60's, Wand Records

epris de nombreuses fois (Lene Lovitcv, Pulp, Soft Cell) ! Malgré ses 88 printemps, Frankie Valli reste un showman infatigable. L’un de ses derniers concerts à Montréal fut, pour la presse, l’occasion de reparler de ce chanteur à la voix si particulière, une voix haut perchée, qui porta son groupe The Four Seasons vers les sommets. On se souvient de la reprise du hits ''Begin'' par le groupe italien Mâneskin ou encore l’inoubliable ''Grease'', titre phare de la bande son du film. Encore un peu de cinéma avec ''Jersey Boys'', qui fut d’abord une comédie musicale avant d’être un film réalisé de main de maître par Clint Eastwood. ''Jersey Boys'', l’histoire de jeunes italo-américains du New Jersey, ces jeunes banlieusards qui vont connaître un succès fulgurant avec des titres comme ''Big Girls Don’t Cry'', ''Sherry'' ou plus tard ''The Night'', morceau lui aussi utilisé dans un autre film. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

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Chalenge Records : Charles Lamont and The Extremes ''I’ve Got To Keep Movin''

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Amateurs de soul, un morceau d’Eric Mercury and The Soul Searchers est republié

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De la musique soul avec la chanteuse Bettye Swann et le label Money Records

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''Mr. Pitiful'' d’Otis Redding et Steve Cropper par Etta James

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Billie Davis et la soul music mod’s anglaise

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The Bluebelles, de la soul music et du funk bien avant Lady Marmelade

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