Hier, une jeune femme, harcelée à l’école entre 2011 et 2014, s’est retrouvée à ses bourreaux au tribunal. Ils se sont excusés en fin d’audience, tout en ne voyant pas le mal qui avait été fait car il s’agissait de taquinerie. Alors qu’elle était en formation boucherie, elle a dû subir les mots et les gestes des garçons de sa classe, elle ne l’a pas vécu comme de la taquinerie et explique dans La DH avoir pensé à l’époque que seul le suicide pouvait mettre fin à son calvaire. Le jugement est attendu en janvier. Où se situe la frontière entre la taquinerie et le harcèlement ?