Selon les travailleurs de One Fleet Service, ils ne seraient, par exemple, que deux salariés au lieu de dix pour nettoyer un avion long-courrier en seulement 25 minutes ou ne disposeraient pas toujours de gants pour laver les sanitaires. Pour l'instant le nettoyage est assuré par des employés en temps partiel et par le management.
La grogne est accrue depuis le début de l'année avec l'instauration de mesures de chômage économique pour 25 des 80 travailleurs.
Aucun retard n'est à craindre pour les voyageurs, qui sont juste invités à accepter la serviette distribuée par les grévistes dans le hall au cas où leur tablette serait trop sale. Pour sortir de l'impasse, une réunion de conciliation est prévue mercredi.
RTBF