La filiale scandinave du chinois Geely "a été informée que l'un de ses serveurs de fichiers a été la cible d'un accès illégal par une partie tierce", indique-t-elle dans un communiqué.
En fin de séance à la Bourse de Stockholm, où le constructeur a récemment fait son retour, l'action Volvo Cars perdait -1,70% à 73,82 couronnes.
"A ce stade, l'enquête confirme qu'un montant limité de propriété intellectuelle a été volé au cours de l'intrusion", ajoute Volvo, qui prévient d'un possible impact "sur l'activité de l'entreprise".
En l'état actuel, Volvo ne voit pas en revanche d'impact "sur la sécurité des voitures ou des données de ses clients", précise le groupe.
Le constructeur basé à Göteborg, qui investit lourdement actuellement pour électrifier tous ses modèles d'ici 2030, n'était pas immédiatement joignable pour des précisions.
Volvo Cars est distinct depuis 1999 du constructeur de poids lourds Volvo Group, qui l'avait vendu à l'époque à l'Américain Ford. Il était ensuite passé sous pavillon chinois lors du rachat par Geely en 2010.