Dans sa petite voiturette électrique, Marie Serozenski parcourt tous les jours entre 15 et 20 kilomètres. Il y a près de 10 ans, cette factrice française troquait son vélo cargo pour un véhicule électrique. Elle ne peut plus s’en séparer. "C’est déjà moins fatigant que le vélo et puis, il y a des emplacements avec des bornes à chaque arrêt, donc c’est très facile de se garer. Et puis, c’est aussi plus agréable, car cela fait moins de bruit. Pour ce qui est de recharger, je le fais tous les deux jours. Tu attends une nuit et c’est bon, tu peux repartir en tournée !", explique la factrice de 30 ans de métier.
La Belgique est-elle prête pour la voiture électrique ? La Flandre largement en tête pour les bornes de rechargement
Belgique
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