C’est par exemple le cas de Cari, une Américaine qui a rendu cet été visite à Sébastian, dans le Sud de la France. Ensemble ils ont partagé un moment et l’ont immortalisé par une photo d’eux deux, devant la vue postée par Sebastian un an plus tôt :
" (...) j'ai rejoint la page View from my window pendant le Covid afin de me sentir connectée avec le reste du monde. (...) Lorsque j'ai vu le post montrant la vue de la fenêtre de Sebastian, je me suis sentie obligée de la peindre, et encore plus de lui rendre visite. (...) Cette année, j'ai eu la chance de pouvoir voyager jusqu’en France. Je rendais visite à des amis qui ont un vignoble à 30-40 minutes d'Issigeac. Le hasard a voulu que mon ami me dise que nous allions visiter Issigeac le lendemain. Il n'a pas été difficile de trouver l'auberge, nous sommes entrés et avons demandé à parler à Sébastien. Il était si aimable et heureux de nous faire la visite du bâtiment et de nous raconter son histoire. Il nous a emmené voir la vue depuis la fenêtre. Mes photos ne lui rendent pas justice, contrairement aux siennes. (...) " (Cari, USA)
Des témoignages comme celui-ci, il en existe des centaines. C'est ce qui a poussé la belge Barbara Duriau, fondatrice du groupe, à montrer que le phénomène "View from my window", c’est avant tout de véritables histoires de vie. Le livre devient ainsi une invitation à voyager et à aller se rendre chez l'autre pour partager un moment d'évasion.
Avec actuellement 2,3 millions de membres et 1 million en cours d’acceptation , le groupe figure aujourd’hui dans le top 10 des plus grosses communautés mondiales de Facebook.