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Trois vies par semaine, le nouveau roman de Michel Bussi : intrigue, vengeance et trois femmes amoureuses

Le Mug d’ouverture

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Habiter trois villes différentes ? Posséder trois identités reconnues ? Aimer trois femmes intensément ? Trois vies qui juxtaposent les thèmes de l’exil et de la vengeance et qui tissent les fils d’une intrigue où l’on ne sait qui manipule qui. Trois vies par semaine est le nouveau roman du maître du suspense Michel Bussi.


Auteur de roman à succès dont "Un avion sans elle" (2012), ancien professeur de géographie et maître de conférences à l’Université de Rouen, Michel Bussi est l’un des auteurs les plus lus en francophonie, traduit dans une quarantaine de pays.

Un corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse, au cœur des Ardennes

Accident, suicide, meurtre ? La révélation de l’identité de la victime plonge la capitaine Katel Marelle dans la sidération. Renaud Duval menait-il trois vies par semaine ? Trois femmes attendent son retour.

Chacune revendique d’être son unique amour. Ensemble, elles vont tenter de percer l’énigme d’une impossible triple vie.

Michel Bussi précise : "L’idée était d’abord la triple identité. C’était de raconter l’histoire sous l’angle de trois femmes, trois histoires d’amour sous une forme d’une triple enquête avec une intrigue, des morts, des méchants, une menace…"

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Comme dans un théâtre d’illusions, qui tire les ficelles ?

Ce suspense haletant aux trois lignes narratives se déroule dans trois lieux : Paris, le Cantal et les bords de Meuse qui déterminent trois univers très différents dont le fil conducteur est 'les marionnettes'.

"La marionnette possède un lien à l’enfance avec les poupées ou les automates que l’enfant fait parler mais aussi au divin où Dieu va animer ses créatures humaines. C’est bien sûr une grande métaphore de l’écriture avec la manipulation de personnages et des lecteurs au travers des émotions" souligne l’écrivain français.

© JOEL SAGET / AFP

Des rebondissements qui maintiennent le suspense

Michel Bussi explique la genèse de son nouveau roman dont l’intrigue s’épaissit au fur et à mesure :

Il y a 15 ans lors de la naissance de ma fille, j’avais déjà des notes avec trois couches narratives. Il fallait que j’ajoute des rebondissements qui permettent au lecteur de se dire qu’il n’a pas tout compris au bout de 100 pages. C’est comme des tours de grand Huit avec le suivant qui est toujours plus fort

Pour cet auteur classé en 2020 par le GFK-Le Figaro en tant que deuxième écrivain français en nombre de livres vendus (près d’un million d’exemplaires vendus en 2019) l’écriture se développe sous forme d’échafaudage avec des étages qui se construisent toujours plus hauts : "J’arrête avant qu’il se casse la figure !"

Avec 24 romans, quinze BD parues ou en cours, trois romans adaptés à la télévision, de nombreuses publications jeunesses… Le succès de Michel Bussi ne semble pas se casser la figure, tant s’en faut.

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