Depuis quelques temps, une de nos téléspectatrices, Michèle Schrobiltgen, fait son ménage seule. Elle a en quelque sorte perdu son bras de fer avec Trixxo, une société de titres-services, qui lui réclamait un euro et 8 centimes de plus par titre pour le travail de son aide-ménagère.
C'est qu'il y a une relation qui s'est établie au fil du temps, après dix années de confiance mutuelle et qu'on détruit ça.
A l'époque, elle demande des explications. Elle estime alors qu'elle n'a pas reçu assez de précisions. Trixxo met fin à son contrat. Sa réaction ? "Pour moi, c'est un comportement, à la limite voyou et peu respectueux des utilisateurs et des aides-ménagères. Ce qu'on oublie, c'est qu'il y a une relation qui s'est établie au fil du temps, après dix années de confiance mutuelle et qu'on détruit ça. Simplement comme ça, par un mail, en disant : "Ben voilà, vous n'aurez plus votre aide-ménagère. Ca a été un choc très très dur pour toutes les deux". Michèle aurait aussi voulu que ce supplément serve à augmenter le salaire de son aide-ménagère. Légalement, ce n'est pas permis.
Si je dois faire le choix entre payer plus, ou perdre mon aide-ménagère que j'apprécie, eh bien, le choix est vite fait .
Actuellement, Trixxo demande 8 euros supplémentaires par mois à tous ses clients qui emploient les services de ses aides-ménagères, tous les quinze jours. C'est clair, selon le patron de Trixxo, Jeroen Poesen, le choix est facile : "Si je dois faire le choix entre payer plus, ou perdre mon aide-ménagère que j'apprécie, eh bien, le choix est vite fait ...."