L’assemblée du personnel s’est réunie lundi. Elle a refusé à l’unanimité le plan de relance prévu pour relancer l’activité après la crise du COVID. Les syndicats dénoncent un chantage : l’investissement de 20 millions € prévu par les actionnaires privés ne sera débloqué que si les travailleurs font des efforts.
Le plan de relance prévoit une diminution de 5% la masse salariale. Il prévoit aussi d’augmenter la flexibilité "c’est imbuvable" s’insurge Michel Gretzer de la CSC "on fait déjà beaucoup de concessions, tous les travailleurs sont hyperperformants. On ne peut pas faire d’efforts supplémentaires, c’est impossible !"