Suzanne, 52 ans, licenciée pour avoir égaré un dossier, s’est assise un moment sur un banc, engluée par la honte.
Un an plus tard : Suzanne est toujours sur son banc, le " collectif des maîtres des chiens du quartier et des propriétaires ayant des fenêtres sur rue " a déposé une plainte contre cette situation incongrue, et c'est la ronde des badauds autour d’elle, des gens comme il faut qu'elle dérange mais qui viennent l’épier.
Son mari lui rend visite et lui apporte à manger, la lave dans une bassine d’eau qu’il transporte...