Spilliaert inspire les Halos de Léon

Léon Spilliaert

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Au départ les tableaux de Léon Spilliaert.
80 ans plus tard, le désir de Layla Nabulsi de donner vie aux tableaux autrement.

De manière subjective, inventer des histoires, des personnages qui seraient sortis du tableau.
Ou qui y entreraient.
Des scènes et des sons.
Des enfants et un peintre.
Une femme et des canaris.
Et la mer bien sûr car Ostende n’est jamais loin de Spilliaert.

Léon Spilliaert - Baigneuse

L’écriture de Layla Nabulsi et la réalisation qu’elle en donne avec son complice Gregor Beck sont douées d’une vie particulière.

L’étrangeté y côtoie le rire.

Le symbole s’échappe du réel.

On voyage avec eux sur les chemins du rêve et on entend des pas.

Il y a dans ce processus d’inventer à partir d’une œuvre une véritable magie.

Ecriture: Layla Nabulsi
Prise de son et mise en onde: Gregor Beck
Réalisation: Gregor Beck et Layla Nabulsi

Avec, par ordre d'entrée en ondes
Yoann Blanc
Jeannine Minne
Catherine Salée
Jeanne Broshen
Margot Broshen
Lena Bodinaux
Tara Destrée
Annette Sachs
Layla Nabulsi
Michèle Seutin
Cécilia Kankonda

Une production Des Terres arables et d'Across Stikos
Réalisé grâce à l'aide du Fonds d'Aide à la Création radiophonique de la Fédération Wallonie Bruxelles et de Gulliver.

 

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Les Halos de Léon

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Léon Spilliaert - Vertige

 

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Léon Spilliaert - Femme sur la digue
Léon Spilliaert - Femme sur la digue © Tous droits réservés
Léon Spilliaert - Autoportrait aux masques

Le peintre Léon Spilliaert est né à Ostende le 28 juillet 1881.

Il a fréquenté le milieu du symbolisme belge, dont Maeterlinck et Verhaeren furent les membres les plus connus. Ses influences allaient de Edvard Munch à Fernand Khnopff, mais aussi Nietzsche et Lautréamont, tandis que ses peintures ainsi que les thèmes qu'elles représentent peuvent être rapprochés de ceux d'Edward Hopper, son contemporain. Il était proche du peintre James Ensor.

Il a signé sa première toile en 1899. Ses tableaux se caractérisent par une évidente mélancolie, à travers la représentation de larges espaces vides (plages et étendues maritimes), ou d'autoportraits jouant sur les ombres, un traitement de la lumière façon clair-obscur. Certaines de ses œuvres confinent à l'abstraction, par des structures géométriques (diagonales et courbes en cercles concentriques).

Son inspiration vient de la ville où il est né, Ostende, et d'errances nocturnes dans la cité balnéaire au long des plages et des digues.

Une ambiance de cauchemar et un certain tragique émanent parfois de ses toiles, ou tout au moins un profond sentiment d'errance et de perdition, de solitude. 

Il meurt à Bruxelles le 23 novembre 1946.

Léon Spilliaert

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Et pour aller plus loin,
visitez l'exposition consacrée à Ensor et Spilliaert
au Mu.ZEE d'Ostende

Mu.ZEE

 

 

 

 

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