En septembre dernier, 박혜진 Park Hye Jin dévoilait son premier album, Before I Die, plaçant la Coréenne parmi le trio de tête d’un genre que l’occident a désormais nommé K-House, aux côtés de Peggy Gou et Yaeji. Trois artistes qui partagent une similarité étonnante : elles ont acquis leur notoriété musicale en dehors de leur pays d’origine. Berlin pour Peggy Gou, New York pour Yaeji et Londres, puis Los Angeles pour la dernière. Il n’en fallait pas plus pour nous poser cette question : pourquoi cette house coréenne reçoit plus de succès à l’étranger que dans son pays d’origine ? On a mené l’enquête aux côtés de trois ressortissants du pays des matins calmes. Après Julian Quintart, on donne la parole à Richard Price, fondateur de Seoul Community Radio, l’équivalent coréen de notre Kiosk Radio national.
Fort Romeau : L’électro en altitude
Jam
Planqué sous un nom de scène qui évoque la poudreuse et les sauts à ski, le producteur britannique Michael Greene sort...