Pour obtenir cette nouvelle suspension, Sodexo a fait savoir que l'Onem avait procédé à un examen trop superficiel des offres et avancé des motifs non pertinents et/ou non admissibles en droit.
Pour l'Onem, les suspensions successives ne servent que l'intérêt de Sodexo "qui continue à exécuter le marché et à réclamer des suppléments de prix injustifiés et exagérés au détriment flagrant de l'intérêt public".
Le Conseil d'État n'a néanmoins pas suivi les arguments de l'Onem et a décidé de suspendre le marché des titres-services... pour la cinquième fois.
Belga