The Dancer

Sara De Paduwa pour The Dancer : "Les demi-finales vont être incroyables"

Sara De Paduwa pour The Dancer

© Martin Godfroid

Par Alyssia Delré via

Ce mardi 14 février, vous avez rendez-vous avec la deuxième phase de la compétition de "The Dancer", celle des demi-finales ! À cette occasion, nous avons demandé à notre pétillante Sara De Paduwa de nous en dire plus sur cette étape cruciale qui emmènera les candidats vers La Grande Finale du 28 février prochain. Mais avant de laisser la parole à notre maîtresse de cérémonie, on peut déjà vous promettre que vous allez être époustouflés par le niveau de nos 9 concurrents.

À quoi peut-on s’attendre pour les demi-finales ?

Sara : "Le niveau va être un cran au-dessus car ce les coachs ont choisi les 9 meilleurs candidats. En plus, ils travaillent avec eux et leur imposent un challenge. Soit un thème, soit un accessoire et donc les candidats sortent de leur zone de confort. Du coup, vous allez voir une palette de talents et de choses qui sont très variées et d'un niveau incroyable."
 

Tout comme dans les auditions, est-ce que le public aura également le pouvoir de voter ?

"Lors des prochaines demi-finales, chaque candidat présentera un tableau. Le public présent dans la salle pourra voter ou non, comme pour les auditions, durant chaque prestation.
Les danseurs et les danseuses récolteront alors un pourcentage de vote. Ceux ou celles de chaque équipe qui auront le plus de pourcentages pourront passer à l’étape suivante.
Par exemple : parmi les trois candidats de l’équipe d’Agustín, le groupe ou le (la) candidat(e) qui aura reçu le plus de pourcentage de votes sera directement qualifié pour la deuxième demi-finale."

Les coachs auront-ils un pouvoir de vote ?

"Oui ! Pour la première et deuxième demi-finale, les coachs auront l’occasion de sauver des candidats. Ils pourront chacun sauver un candidat de leur équipe lors de la première demi-finale et ils pourront en sauver un seul au total parmi les trois équipes durant la deuxième demi-finale.
Le choix sera très difficile car le niveau est impressionnant."

La configuration du plateau est-elle différente des auditions ?

"Ce plateau a été transformé et c’est complètement dingue.
Il n’y a plus de miroir car la scène est beaucoup plus grande afin de permettre des tableaux et des challenges de taille. Je peux d’ailleurs vous dire que ça en jette et que vous allez voir des choses incroyables. Quant aux coachs, ils ne sont plus dans le public mais sur le côté de la scène afin d’être plus proches de leurs talents. Quant au public, il entoure et fait face à la scène car il doit être aux premières loges pour pouvoir voter."

Un nouvel espace fait son apparition pour les demi-finales, il s’agit de la Mezzanine ?

"Oui ! Tout à fait. C’est un peu notre "greenroom" à nous.
On y retrouvera les candidats en compagnie d’Ivan avant et après leurs prestations.
C’est justement dans la mezzanine qu'on voit qu’il y a un bel esprit entre les danseurs. On les voit souvent s'encourager. C’est très beau à voir car malgré la compétition, on remarque qu’il y a beaucoup de respects entre eux."

Quel sera ton rôle durant ces phases finales ?

"On sera plus présents Ivan et moi. Ici, nous sommes les maitres de cérémonie lui et moi.
Je suis en plateau et Ivan occupe a mezzanine.
Je continuerai à récolter l’avis des coachs entre chaque prestation mais nous serons plus présents que pendant les auditions."

As-tu eu beaucoup de retours depuis le début de la diffusion ?

"Oui, je reçois énormément de messages et il y a une bienveillance qui est assez magique.
Je tiens d’ailleurs à dire "bravo" aux équipes car le programme est magnifique.
Ce n’est pas parce que je suis dedans que je dis ça mais je trouve que l’image est très belle, la façon de filmer, le rythme, les coachs et tout le reste apportent quelque chose d’incroyable à ce programme. Sur mes réseaux, je reçois beaucoup de messages positifs. Dans la rue, j’ai des personnes qui m’interpellent pour me dire qu’ils connaissent l’un ou l’autre danseur des auditions.
Je me rends compte qu’on a un vivier d’excellents danseurs chez nous. C’est impressionnant de voir le pouvoir de la danse en Belgique. Je constate que c’est un sport très pratiqué chez nous."

Après avoir vu les premières très belles audiences, est-ce que tu es impressionnée par le succès ?

"Pas autant. Je pressentais que nous étions dans le bon avec la danse car c’est dans l’air du temps plus que jamais. On est dans le bon aussi car nous sommes chez nous, les candidats sont belges, deux de nos coachs aussi. Les candidat.e.s ne sont pas des stars mais des gens qui ont beaucoup de talents et qui sont parfois reconnus dans le monde de la danse.
Donc nous avions tout pour réussir mais je ne m’attendais pas à un tel succès et je dis encore une fois "bravo" aux équipes !"

Tes enfants regardent-ils le programme ?

"Ma fille regarde l’émission en différé car elle pratique elle-même un sport le mardi soir.
On lui en parle beaucoup à l’école en fait. On sent que c’est un vrai programme familial. En règle générale, on peut parler d’une vraie réussite car The Dancer attire un public très jeune. Et c’est normal car il y en a pour tous les goûts, tous les âges."

Qu’as-tu envie de dire aux téléspectateurs qui vont nous suivre pour la phase des demi-finales ?

"Ça devient une vraie compétition. Vous allez voir les candidats dépasser leurs limites et aller encore plus loin. La compétition s’intensifie vraiment mais toujours dans la bienveillance.
Il faut aussi saluer le travail des coachs qui ont eu plusieurs sessions de travail avec leurs candidats. Ils se sont beaucoup impliqués pour vous offrir un show incroyable. Car c’est ça la danse, c’est le partage des passions. Mais je peux vous assurer que les demi-finales vont être incroyables."

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