En Classe 40, cinquante-cinq machines s’apprêtent à affronter les flots. Dont trente sont flambant neuves. Et ça change la donne. "C’est un phénomène assez interpellant, et enthousiasmant : l’engouement est tel pour les courses transatlantiques, notamment pour la Classe 40, que pas moins de trente bateaux sont nouveaux. C’est énorme". Par comparaison, pour l’édition 2018, il y en avait huit seulement. Or un bateau neuf, s’il est skippé par un bon marin, il est candidat au top 10. Ici, sur les trente, vingt sont dans cette situation. Au total, ça fait beaucoup de candidats au top 10".
Cela annonce une course très serrée, un défi de plus pour Jonas. Il les aime.