Ce lundi matin, les journaux reviennent sur les évènements qui se sont produits ce week-end à la Côte belge.
La Prem1ère - Matin
Ce lundi matin, les journaux reviennent sur les évènements qui se sont produits ce week-end à la Côte belge.
Une dizaine de policiers, voire plus, les pieds dans le sable, patrouillant ou en rang, attentif au moindre débordement.
Ces images sont un peu partout ce matin, soit en Une, soit dans les premières pages des journaux.
C’est le cas dans le journal Le Soir qui titre ce matin :
Une côte qui s’est donc barricadée en 24 heures poursuit le Soir.
Le quotidien revient donc sur cette bagarre survenue samedi à Blankenberge et sur la décision d’interdire les touristes d’un jour, décision prise par plusieurs communes du littoral hier.
Même image, même constat fait ce matin en Une de l’Avenir : avec aussi une image de policier qui patrouille sur la digue et ce titre :
Coup de chaleur à la Côte
De la chaleur au niveau des températures mais aussi dans les esprits de certains.
Une côte qui s’est fermée comme une huître peut-on lire ce matin.
Les touristes d’un jour sont désormais indésirables à la côte. Ce sont les dégâts collatéraux de la bataille de Blankenberge.
Du côté de la Libre : c’est la photo d’une plage bondée qui domine la Une.
Et ce titre : D’Ostende à Knokke, un week-end sous haute tension à la Côte. La côte est débordée par l’afflux de touristes d’un jour poursuit le quotidien.
Une promiscuité qui peut être un facteur de propagation du coronavirus rappelle la Libre.
Enfin, la presse flamande revient également sur les évènements survenus ce week-end.
Et un constat est fait que ce soit dans le Standaard ou dans le Morgen : le constat que les bourgmestres et la SNCB sont à nouveau dos à dos, ils se pointent du doigt et ne s’entendent pas. D’un côté, les bourgmestres qui veulent limiter voire interdire les trains amenant du monde sur leur plage, et de l’autre la SNCB qui rappelle que c’est au gouvernement de prendre cette décision.
Deux visages sont aussi en Une des journaux ce matin
Ceux de deux cyclistes belges au sommet : il s'agit des visages de Remco Evenepoel et de Wout Van Aert.
Wout Van Aert souvent les bras vers le ciel au moment de sa victoire lors de la course Milan San Remo.
Remco Evenepoel, avec son dossard en main lors du passage de la ligne d’arrivée du tour de Pologne en main.
Van Aert et Evenepoel, deux phénomènes belges titre le Soir.
Les nouveaux cannibales du cyclisme belge pour la Libre, qui fait un clin d’œil à Eddy Merckx.
Des patrons du cyclisme pour la DH que rien n’arrête ajoutent Sudpresse.
Du côté du Standaard : on se pose cette question après cette double victoire belge : Où se trouvent les limites de Van Aert et Evenepoel ?
Dans Libre, Wout Van Aert répond : qu'il n'en sait rien.
La politique est en Une de nombreux quotidiens, et malheureusementon semble encore bien loin d’un accord de gouvernement.
Un sujet est en une de nombreux journaux et c'est peu de le dire, suscite la controverse, : le port obligatoire du masque à...