Il est grand le mystère de la foi, mais encore plus grand le mystère du rock’n’roll ! Pas toujours évident de croire aveuglément en une force là-haut, qu’elle soit sous la forme d’un vieux barbu ou autre. On se pose des tonnes des questions sur la pertinence de tout cela, des points d’interrogations à la chaîne qui trouvent peu de réponses finalement mais qui laissent toujours une porte ouverte !
En 1995, sur son troisième album nommé " Alice In Chains ", le groupe de grunge de Seattle publie " God Am ", questionnement philosophique et spirituel du chanteur, le regretté Layne Staley. Dans un registre beaucoup plus optimiste, on retrouve " Higher Love " de Steve Winwood qui s’interroge " there must be a higher love ", il doit y avoir un amour supérieur, celui de Dieu. Direction la Pennsylvanie et la ville de York avec Live, groupe courant post-grunge, postdisparition de Kurt Cobain, qui triomphe avec " I Alone ", le chanteur est au début d’une quête spirituelle. En 1986, le chanteur du groupe britannique XTC, Andy Partridge, est en pleine réflexion sur l’existence de Dieu, le groupe envoie donc une lettre, commençant par " Dear God " (Cher Dieu) et pas mal de questions, c’est une petite fille de 8 ans, Jasmine Veillette qui chante les premiers mots…