Le groupe Lufthansa va devoir opérer 18.000 vols à vide, faute de passagers, dont environ 3000 vols pour sa filiale belge, Brussels Airlines. Ce sont les règles européennes qui contraignent les compagnies à voler si elles veulent conserver leurs "slots", ces créneaux horaires qui autorisent une compagnie à décoller d’un aéroport ou à y atterrir à un moment précis. Pour conserver ces droits d’opérer, les compagnies doivent réaliser au moins 80% des vols prévus. Pour certains, dont le ministre belge de la Mobilité, c’est un non-sens économique et écologique. Et de demander à la Commission européenne d’assouplir les règles.
L'Union européenne et le secteur aéronautique s'unissent pour atteindre l'objectif de zéro émission pour 2050
Environnement
L'Union européenne, sous la présidence de la France, plus de 200 aéroports européens, dont ceux de Bruxelles, Liège et...