Marie-Thérèse sera historienne, elle écrira aussi trois romans et plusieurs essais, sans compter qu’elle versera dans la dramaturgie. En 1938, elle enseigne l’histoire à l’École moyenne des filles de Verviers et n’a pas trente ans quand paraît Les roseaux noirs, son premier roman.
Passion, adultère et inceste en font une œuvre considérée comme violente, une certaine presse y verra même des " monstruosités " qui risqueraient d’altérer l’esprit de ses élèves. Marie-Thérèse devra quitter l’école, ce qui ne l’empêchera pas d’être encensée par la presse littéraire belge et française et de figurer parmi les finalistes du prix Femina…