Au global, l'étude a estimé que la régénération naturelle des jeunes plants de chêne sur plusieurs sites du Dartmoor était limitée à 20 mètres de l'arbre adulte le plus proche.
Selon les chercheurs, ce niveau d'expansion naturelle est insuffisant pour contribuer de manière adéquate au stockage du carbone, à l'atténuation des inondations et à l'apport de biodiversité nécessaire à ces paysages montagneux.
La plantation d'arbres et la fin de la déforestation sont de plus en plus mises en avant comme des mécanismes peu coûteux et respectueux de l'environnement pour lutter contre le changement climatique.
"Ces mesures ont été prises en compte dans les programmes 'net-zéro' du Royaume-Uni et d'autres gouvernements et les dirigeants mondiaux se sont également engagés à aborder cette question lors de la COP26 à Glasgow l'année dernière", développe le Dr Thomas Murphy, auteur principal de l'étude.