Pendant ces mois d’été, vous avez décidé de partir mais la route est longue et l’image romantique du départ vers le soleil et la mer peut vite être balayée par des enfants impatients voire turbulents.
Tendances Première
Pendant ces mois d’été, vous avez décidé de partir mais la route est longue et l’image romantique du départ vers le soleil et la mer peut vite être balayée par des enfants impatients voire turbulents.
Pour éviter les cris et pleurs sur le trajet et esquiver la question piège " Quand est-ce qu’on arrive ? ", ces deux conseils seront bien utiles : Eviter la fatigue excessive mais aussi distraire les enfants. Oui, mais comment faire ?
Essayez de partir dans de bonnes conditions, si possible, dormez une nuit de huit heures avant de démarrer. Préparez vos bagages bien à l’avance, veillez à ce qu’une bonne partie soit prête la veille de votre départ et tâchez de ne pas partir dans le rush, cela évitera du stress et de l’énervement. Si vous êtes deux, pensez à vous relayer régulièrement au volant.
Sur la route veillez à vous arrêter de temps en temps pour prendre de l’air et vous dégourdir les jambes. C’est bien connu : " toutes les deux heures, une pause s’impose " mais c’est aussi le temps maximum qu’un enfant peut supporter, assis dans la même position. Si c’est envisageable, faire une petite sieste de 15 minutes est aussi très bénéfique. Et puis vous pouvez toujours suivre ces quelques pistes…
Pour eux, le voyage semble vite interminable. Pour combattre leur ennui, il faut les occuper.
Vous connaissez certainement une bonne partie de ces petits trucs mais il est peut-être utile de consulter la liste :
Et pour les plus petits…
Si, a priori, il s’agit d’une solution de facilité réclamée à corps et à cris quelque soit l’âge de votre progéniture, il faut avant tout rester prudent sur la route. Il n’est pas rare qu’il faille intervenir pour une chamaillerie à l’arrière du véhicule concernant un choix de film ou de jeux ou de devoir gérer un problème technique, une batterie déchargée, un mauvais mot de passe ou un fichier perdu. Si cela se présente, on explique aux enfants qu’on s’arrêtera bientôt et qu’on règlera le problème à ce moment, plutôt que de risquer l’accident.
La tablette et le smartphone, ça peut être bien à petites doses. On peut commencer à occuper tout ce petit monde de façon classique et garder ces merveilles de technologies virtuelles comme joker en cas de coup dur.
Le principal avec les enfants, c’est la communication, bien expliquer ce qui se passe, quel est le programme, puis leur faire confiance et rester zen.