Alors que la Journée internationale de la tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines (6 février) approche, la problématique du statut des parents de filles ayant obtenu une protection internationale en Belgique à cause d'une telle menace subsiste.
Vendredi, le médiateur fédéral communique avoir transmis une recommandation à la Chambre à ce sujet, car il est nécessaire de combler une lacune dans la loi, estime-t-il.
Des associations avaient pointé le problème à la même période l'an dernier: en 2019, il y a eu un changement dans la manière dont le Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA) gère les dossiers de parents accompagnant un mineur demandeur de protection internationale, comme les enfants menacés de mutilations génitales dans leur pays.