Paul Onuachu s’en est allé vivre son rêve en Premier League à Southampton. Ce transfert a gonflé les caisses du Racing Genk mais il a sacrément dépeuplé sa ligne offensive. Le colosse nigérian prenait de la place sur le terrain, pesait sur les défenses adverses et dans les statistiques. Wouter Vrancken est donc forcé de retravailler une partition que le leader de la Pro League récitait sans fausse note depuis de nombreuses semaines.
Le T1 du Racing connaît cette situation. Il y a déjà été confronté en début de saison quand Paul Onuachu se remettait d’une blessure aux adducteurs. D’abord absent puis ménagé, l’attaquant d’Owerri n’a pas été titulaire avant la septième journée. Cyril Dessers (à trois reprises), puis András Németh (à quatre reprises) ont occupé le poste de N.9. Ally Samatta a dépanné mi-janvier. Mais deux de ces trois joueurs ont quitté le club. Seul le trentenaire tanzanien figure encore sur le pay-roll limbourgeois.
Peu importe le patronyme du joueur aligné en pointe, jamais Wouter Vrancken n’a modifié son 4-2-3-1. Bonne nouvelle pour le coach, sa production offensive est restée relativement constante : 2,5 buts par match sans Onuachu, 2,57 avec lui.
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