Et de poursuivre : "Pourquoi est-ce que la Wallonie doit à chaque fois sacrifier ses travailleurs au nom de certaines cultures ou de certaines idéologies ? Nous sommes aussi pour l’écologie à la FGTB, mais avec une écologie mesurée. Avec ce permis d’environnement, on est en train de détruire l’emploi car il se focalise sur 3 volets : la réduction du nombre de vols, la réduction de CO2 et les nuisances sonores".
Une réunion avec le gouvernement wallon est prévue ce mercredi après-midi. La direction de l’aéroport est également présente ainsi que la société ALS et la branche européenne du Conseil International des Aéroports (ACI Europe).
Les ministres en charge de ce dossier d’envergure ont jusqu’à la fin du mois de janvier pour statuer concernant les recours envoyés. La décision politique est attendue pour la mi-février. De nombreux recours ont été déposés, mais on semble se diriger vers une diminution progressive des vols de nuit et une limitation du nombre de mouvements d'avions à 50 mille par an. C'est 15 mille de plus qu'actuellement, mais 20 mille de moins qu'espéré par les différentes entreprises qui dépendent de l'aéroport.