Pour Elina Hyppönen, chercheuse principale de l'étude et directrice de l'Australian Centre for Precision Health de l'UniSA, il s'agit d'une découverte positive dans la mesure où cela montre que notre génétique régule activement la quantité de café que nous buvons et nous protège contre une consommation excessive.
"Les gens régulent inconsciemment des niveaux de caféine en fonction du niveau de leur tension artérielle, sans doute le résultat d'un mécanisme génétique protecteur."
"Cela signifie qu'une personne qui boit beaucoup de café est probablement génétiquement plus tolérante à la caféine qu'une personne qui en boit très peu", explique la chercheuse.
"Si votre corps vous dit de ne pas boire cette tasse de café supplémentaire, il y a probablement une raison à cela. Écoutez-le, il est plus à l'écoute de votre santé que vous ne le pensez...", recommande Elina Hyppönen.