Quatre ans après avoir obtenu la quatrième place pour leur première participation aux Mondiaux à Tenerife, les Cats doivent justifier leur place dans le Top 5 mondial mais surtout, elles veulent faire oublier la cruelle désillusion d’une élimination en quarts de finale contre le Japon aux Jeux Olympiques de Tokyo.
Seules six joueuses présentes en 2021 sont encore dans le noyau : Meesseman, Allemand, Lynskens, Vanloo, Delaere et Billie Massey.
Intronisé à la tête de l’équipe nationale après le " couac " japonais, le coach Valéry Demory a délibérément abaissé la moyenne d’âge avec l’arrivée dans le noyau de jeunes joueuses comme Ramette, Résimont, Joris ou Ben Abdelkader, une réelle plus-value.
Ce mix de génération est plutôt réussi de l’aveu même des cadres des Cats. Le bémol, ce sera le baptême du feu pour cette relève talentueuse et prometteuse. En effet, six des douze joueuses n’ont jamais disputé de grand tournoi international, elles ne devront pas se laisser impressionner par les filles d’en face.