Au moins 30 journalistes iraniens étaient toujours incarcérés en lien avec les manifestations ayant suivi la mort en détention de Mahsa Amini, a indiqué mercredi l’Association des journalistes de Téhéran.
Selon cet organisme, "environ 70 journalistes" ont été arrêtés depuis la mi-septembre, mais certains d’entre eux ont été ensuite "remis en liberté sous caution".
"30 journalistes interpellés restent détenus", a précisé l’Association, en publiant la liste de ces personnes. "Depuis le début des manifestations, un nombre important de journalistes ont également été convoqués" par les autorités, a ajouté la même source.