Avec l’affolante augmentation des prix, de nombreux consommateurs sont contraints d’adapter leur budget. Ils se disent prêts à renoncer à certaines dépenses jugées superflues comme les sorties et les loisirs. Mais pour les amateurs de littérature, pas question de toucher à celles en lien avec leur passion.
C’est en tout cas ce qu’affirme un nouveau rapport de la Booksellers Association et de l’institut Nielsen, publié par The Bookseller. Les deux organismes ont mené l’enquête auprès de 1000 Britanniques fréquentant les librairies du pays, afin d’évaluer l’impact que l’inflation devrait avoir sur leur consommation culturelle.
Ils ont constaté que la plupart des personnes interrogées prévoient de continuer à acheter des livres, malgré la crise du coût de la vie. La raison ? Ils ont un bon (45%), voire un excellent (20%) rapport qualité-prix. Ils sont aussi nombreux à évoquer le fait que les livres sont particulièrement propices à l’évasion et au divertissement, ou encore qu’ils font de très beaux cadeaux. Autre avantage : ils contribuent à améliorer notre bien-être mental, comme la musique et d’autres formes d’art.