À 26 ans, les filles aiment les vêtements et Géraldine n’échappe pas à la règle. Le shopping, c’était un loisir et c’est ensuite devenu une nécessité. Nous avons rencontré cette jeune influenceuse, qui doit se tenir au courant des tendances pour alimenter son blog, consacré à la mode.
" Oui, je fais beaucoup de shopping. Du coup, on peut voir si ça va ou pas. Entre amis aussi, comme ça, on peut se donner des conseils, ce qui n’est pas mal. Et aussi pour voir quelles sont les dernières tendances, afin d’écrire sur mon blog…" nous explique-t-elle.
Suchagirl, c’est donc le nom de son blog. C’est aussi l’occasion de partager des bons plans pour moins acheter et moins gaspiller. Géraldine a découvert un tout nouveau concept sur internet, cela s’appelle "Le Closet" : l’idée est de louer ses vêtements
et de constituer sa garde-robe en ligne. " On m’a demandé mes mensurations, les tailles, les marques que j’aimais bien, surtout quels types de pièces j’aime porter et quels types j’aime moins porter… Les imprimés, les couleurs que j’aime ou que je n’aime pas. Maintenant, on me demande de créer une petite wish list avec les pièces que j’aime bien ".
Des vêtements pas toujours neufs et disponibles
Pour 39 euros par mois, tarif de base, Géraldine peut choisir deux pièces et un accessoire et elle peut renouveler l’opération plusieurs fois. Mais attention, les vêtements proposés ne sont pas neufs et ils ne sont pas toujours disponibles. Une semaine plus tard, surprise ! Son colis est arrivé. " Il y a en effet la robe sélectionnée dans ma wish list. Elle est vraiment bien, elle est assez neuve. Je n’ai pas l’impression qu’elle a déjà été mise donc oui, c’est positif. Elle est bien propre, bien repassée. C’est comme si elle sortait d’un magasin ".
Quant au chemisier, c’est un second choix et il lui a été proposé sur la base de son profil. " On sent, je ne sais pas si ça se voit, qu’il a déjà été mis. Mais a priori, ça ne me dérange pas plus que ça ". La jeune femme pourra garder les vêtements aussi longtemps qu’elle le veut ou les renvoyer sans les laver ou encore les acheter. Mais attention, c’est loin d’être donné ! 41 euros la robe, 37 euros le chemiser. Soit 78 euros pour des vêtements d’occasion, la note est bien salée. Voilà une addition qui met fin à l’expérience. Géraldine a été séduite par le concept mais les tarifs l’ont rapidement découragée…