Selon le centre national du cinéma, le secteur audiovisuel émet l’équivalent de 1 million de tonnes de CO2 et consomme énormément d’énergie. Face à de tel constat, des initiatives ont été mises en place afin de limiter leur empreinte écologique. Pour y arriver le nombre de gobelets sur les lieux de tournage ont été diminués, les déplacements en train favorisés à la place de ceux en voiture et l’utilisation des lampes LED mis en avant par rapport aux anciennes qui, bien que fonctionnelles, consomment énormément d’énergie.
De nouveaux métiers ont d’ailleurs été créés afin de faire respecter ces mesures sous le nom du "co-manager". Celui-ci a comme mission, au préalable de chaque production, de veiller aux respects de ces règles, d’estimer en amont la quantité de déchets qui peut être produit et éventuellement chercher des alternatives pour en consommer ou en produire moins.
Quand bien même des efforts sont faits dans les productions, le message de l’écologie ne s’arrête pas là et est promu également dans les scénarios. Cependant, la majorité d’entre eux tournent autour de catastrophes afin d’attirer le plus l’attention du public.