Une zone de sécurité avait été délimitée autour du Palais de Justice. Il était ainsi interdit de circuler autour du Palais, mais les commerces et le marché de Noël étaient restés accessibles aux piétons.
L'alerte à la bombe avait été donnée à la suite d'un appel anonyme, vers 13h. Le Palais de Justice et les bâtiments abritant la Justice de paix ont alors été immédiatement évacués. Les magistrats et le personnel du Palais se sont ainsi retrouvés place Saint-Lambert, pratiquement mêlés aux métallos liégeois venus exprimer leur soutien aux victimes et familles de la fusillade de la semaine dernière. La police, appuyée par les chiens, a recherché vainement d'éventuels explosifs.
L'alerte au Palais de justice provenait d'un GSM dont la police tente d'identifier le propriétaire. Celui-ci avait téléphoné au service 101 en signalant que deux bombes avaient été dissimulées dans le Palais de justice et qu'elles devaient exploser "afin de venger Nordine...".
L'école provinciale d'enseignement secondaire (IPES) de Huy 2 a été évacuée lundi matin en raison d'une alerte à la bombe, a-t-on appris auprès des forces de l'ordre.
Des enseignants ont découvert dans les toilettes de l'établissement des graffitis ainsi qu'un document indiquant qu'une bombe allait exploser ce lundi à 12H45. En concertation avec la police, la décision d'évacuer l'école a aussitôt été prise. "Peu après 11H00, nous avons évacué les 680 élèves que compte l'établissement. Ils se sont rassemblés dans le calme et le bon ordre dans le parc de l'avenue Delchambre. Nous avons ensuite procédé à une fouille minutieuse des locaux. Rien de suspect n'a été découvert", explique le commissaire divisionnaire Didier Lambert, chef de zone à Huy.
Les pompiers locaux ont aussi été alertés, mais ils sont restés en "stand by" dans leur caserne. "Selon les premiers éléments de l'enquête, cette très mauvaise blague serait l'oeuvre d'un étudiant qu'il nous reste encore à identifier", ajoute le commissaire Lambert.
Les étudiants de l'IPES ont pu réintégrer l'établissement peu avant 13H00.
P. Scheffers avec Belga
L'alerte à la bombe avait été donnée à la suite d'un appel anonyme, vers 13h. Le Palais de Justice et les bâtiments abritant la Justice de paix ont alors été immédiatement évacués. Les magistrats et le personnel du Palais se sont ainsi retrouvés place Saint-Lambert, pratiquement mêlés aux métallos liégeois venus exprimer leur soutien aux victimes et familles de la fusillade de la semaine dernière. La police, appuyée par les chiens, a recherché vainement d'éventuels explosifs.
L'alerte au Palais de justice provenait d'un GSM dont la police tente d'identifier le propriétaire. Celui-ci avait téléphoné au service 101 en signalant que deux bombes avaient été dissimulées dans le Palais de justice et qu'elles devaient exploser "afin de venger Nordine...".
Quant à la seconde alerte, celle de la
galerie Saint-Lambert, elle pourrait être liée, par certains éléments, à la
première alerte.
L'école provinciale d'enseignement secondaire (IPES) de Huy 2 a été évacuée lundi matin en raison d'une alerte à la bombe, a-t-on appris auprès des forces de l'ordre.
Des enseignants ont découvert dans les toilettes de l'établissement des graffitis ainsi qu'un document indiquant qu'une bombe allait exploser ce lundi à 12H45. En concertation avec la police, la décision d'évacuer l'école a aussitôt été prise. "Peu après 11H00, nous avons évacué les 680 élèves que compte l'établissement. Ils se sont rassemblés dans le calme et le bon ordre dans le parc de l'avenue Delchambre. Nous avons ensuite procédé à une fouille minutieuse des locaux. Rien de suspect n'a été découvert", explique le commissaire divisionnaire Didier Lambert, chef de zone à Huy.
Les pompiers locaux ont aussi été alertés, mais ils sont restés en "stand by" dans leur caserne. "Selon les premiers éléments de l'enquête, cette très mauvaise blague serait l'oeuvre d'un étudiant qu'il nous reste encore à identifier", ajoute le commissaire Lambert.
Les étudiants de l'IPES ont pu réintégrer l'établissement peu avant 13H00.
P. Scheffers avec Belga