Quel est le point commun entre la peur du vide, les doutes existentiels, et le sublime des paysages de montagne ? Une même fragilité de notre relation au monde : le vertige. Et si le vertige devenait un sujet de philosophie ?
Au micro de Pascale Seys, le jeune philosophe Arthur Lochmann raconte une ascension dans le massif du Mont-Blanc, où se côtoient les plus diverses formes de la perception et où s’experimentent d’autres rapports à la matière et au sensible. Et si le vertige nous permettait de mieux appréhender l’instabilité de notre monde en révélant notre besoin d’ancrage ?