Après cette dispute, une enquête a été menée par les autorités fédérales mais n’a débouché sur aucune poursuite. Ensuite, le FBI a lui aussi enquêté et a conclu que les allégations étaient insuffisantes pour donner lieu à des poursuites. Et des sources rapportent à TMZ qu’il y aurait également eu une enquête du Département des services à l’enfance et à la famille qui a, elle aussi, été close faute de preuves. Angelina ne s’est pas arrêtée là. Dans l’affaire du divorce, elle s’est ensuite rendue au tribunal de la famille pour tenter de convaincre le juge que Brad était un parent inapte qui ne devrait pas avoir la garde. Le juge l’a écoutée mais a donné la garde à 50/50.
Un représentant de l’acteur a déclaré à CNN : "L’histoire continue d’évoluer chaque fois qu’elle la raconte avec de nouvelles affirmations non fondées. Brad a accepté la responsabilité de ce qu’il a fait mais ne le fera pas pour les choses qu’il n’a pas faites. Ces nouvelles allégations sont totalement fausses.
Selon les sources de TMZ, Angelina Jolie cultive un désir de vengeance et surfe sur une campagne de diffamation contre Brad Pitt, en ressortant des allégations qu’elle a faites pendant des années et qui sont tombées à plat avec les autorités. Mais ses tentatives répétées de dépeindre Brad comme un agresseur d’enfants auraient fait de gros ravages sur leurs 6 enfants, qui sont maintenant très éloignés de leur père. La même source a déclaré que Brad avait maintenant une "relation limitée et tendue, à cause de sa campagne d’aliénation". En ce sens, l’actrice aurait gagné, disent certains, car malgré la garde partagée, on peut penser qu’Angelina Jolie a "empoisonné" les enfants contre Brad au point qu’il n’a que peu ou pas de relation avec eux, et que les victimes sont finalement toute la famille. Maleficient versus Fight Club.