La Coupe du Monde féminine, c’est dans moins d’un an. Et l’objectif est bien calé dans le viseur des Red Flames. Mais on avait déjà un peu prévenu : le chemin vers l’Australie et la Nouvelle-Zélande (pays hôtes de la compétition mondiale en 2023) est pour le moins sinueux et incertain.
Direction le Portugal tout d’abord ce jeudi pour le premier tour des barrages, un premier tour qui concerne les six "moins bonnes deuxièmes" à l’issue de la phase de groupes. Les Red Flames affronteront la sélection portugaise à Vizela (dans le nord du pays), avant de peut-être revenir jouer en Belgique contre l’Islande mardi prochain, au Stade Roi Baudouin. Un deuxième tour de barrage qui ne sera disputé que si les Belges reviennent victorieuses du Portugal, 27e nation mondiale (la Belgique est 19e). En cas de défaite, les rêves mondiaux partiront déjà en fumée.
Mais même en cas de nouvelle victoire face à l’Islande (les deux équipes ayant partagé l’enjeu lors de l’Euro cet été en Angleterre), les Flames ne pourront pas encore allumer un feu de joie. Il faudra tout d’abord attendre les résultats des deux autres barrages (2e tour) disputés par la Suisse contre les gagnantes de Pays de Galles-Bosnie Herzégovine et par l’Irlande contre les qualifiées d’Ecosse-Autriche.
Et là… Il faudra ressortir la calculette.