Ce nouveau concept lancé par l'enseigne, qui compte 330 points de vente dans en France, propose un tiers de jouets d'occasion pour deux tiers de jouets neufs, un jeu de société de seconde main pouvant ainsi être proposé deux fois moins cher juste à côté de son équivalent sous cellophane.
"On reprend un jouet à un tiers de son prix neuf, payé sous forme de bon d'achat et on revend aux alentours de 50% du prix neuf", précise M. Jocteur Monrozier.
"On nettoie et on reconditionne si nécessaire, avec une garantie d'un an. Certaines catégories, comme les peluches, ne sont pas reprises."
Derrière le comptoir de ce premier King Okaz, Loïc Navarro est en pleine expertise : "On récupère les puzzles jusqu'à 60 pièces seulement car il faut les assembler devant la personne qui les ramène pour voir s'il ne manque pas une pièce ! Et pour les Legos, le mieux, c'est de les amener montés pour prouver qu'ils sont complets. Et derrière, on les démonte...", s'amuse-t-il.
Claire Levier, 37 ans, a ramené des jouets que ses enfants "n'utilisent plus". "J'ai l'habitude d'acheter et vendre sur Vinted ou LeBonCoin mais venir en magasin, c'est beaucoup plus simple, je n'ai pas à envoyer des colis. Et les prix de l'occasion sont intéressants aussi, par les temps qui courent", dit-elle.