Les fraudeurs ne manquent pas d'imagination pour les obtenir. Ils invitent souvent les victimes à cliquer sur un lien (87% des cas) ou encore à résoudre un "problème" en modifiant, par exemple, les délais de livraison d'un colis (72%). Certains tentent également de les appâter avec des offres promotionnelles uniques (32%).
Force est de constater que les Britanniques âgés de 18 à 34 ans peuvent facilement se laisser berner par ces messages frauduleux. Un quart d'entre eux ne sont pas capables d'en reconnaître un.
Fait étonnant : seuls 11% des répondants âgés de 55 ans et plus tombent dans le panneau.
Ce phénomène s'explique, en partie, par le fait que les jeunes Britanniques ne sont pas assez attentifs aux indices comme l'orthographe et la syntaxe des courriels et SMS malveillants. Ils sont aussi 29% à avouer qu'ils ne se méfient pas assez du ton persuasif de ce genre de messages.