Dans cette brigade, on s'occupe des "invisibles", de celles et ceux qui sont morts mais dont on ne connait pas le nom. Une série policière qui détonne dans un paysage sériel déjà bien occupé par le genre, grâce à des personnages singuliers et des dialogues soignés.
Les Invisibles, saison 1 et 2 en intégralité sur Auvio dès le 7 septembre.
Il y a Marijo, grand-mère bougonne au cœur tendre, expérimentée et directe ; "la duchesse", jeune bourgeoise peu habituée au terrain ; Ben, l'ancien boxeur reconverti en flic ; Angie, la médecin légiste qui a toujours le mot pour rire ; et enfin Darius, le chef de cette joyeuse bande. Leur mission : trouver en sept jours l'identité de cadavres non identifiés pour leur rendre une certaine dignité et leur éviter la fosse commune.
Avec quelques allures de Cold Case, Les Invisibles se distingue des séries françaises policières habituelles. D'abord par une structure d'épisode plutôt originale : en parallèle de l'enquête, on suit d'autres personnages qui nous apportent des indices sur l'identité de la victime… ou de l'assassin ? Et dans un espace spatio-temporel pas toujours facile à identifier, amenant une couche de mystère en plus à chaque intrigue et permettant une vraie révélation à la fin (et non une conclusion convenue comme dans la plupart des polars du genre).