Le conte musical Le violon virtuose qui avait peur du vide est une aventure onirique, née de la rencontre entre un violoniste russe, Sergey Malov, le quatuor Akilone, un jeune compositeur, Thomas N’Guyen, et un auteur, Néry Catineau. Créé en 2013 pour le festival français Les vacances de Monsieur Haydn, le conte est maintenant disponible en libre écoute sur le site de son auteur, Néry Catineau.
"Ce n’est pas un conte pour enfant mais c’est aussi un conte pour les enfants… !"
Voici comment Néry Catineau décrit le conte musical Le violon virtuose qui avait peur du vide. Le conte vous propose de suivre les pérégrinations de Violino, le prince des violons. Né au royaume de la musique savante, le jeune prince s’ennuie dans son palais et recherche l’aventure, tant et si bien qu’il en devient imprudent. Cette imprudence va le jeter loin de sa famille et de ses amis et le plonger dans une quête initiatique qui le forcera à faire confiance à son instinct.
Ce conte-feuilleton est écrit et récité par l’artiste protéiforme Néry Catineau et est accompagné d’extraits musicaux composés par le jeune compositeur Thomas Nguyen et interprété par le Quatuor Akilone.
Chaque épisode est accompagné d’une série de très belles illustrations réalisées par Néry Catineau. Ce conte musical ravira tout aussi bien les enfants et les parents et les emmènera dans un "royaume harmonieux", un monde onirique et poétique où la musique est reine et où le prince est un violon aventurier.
Oser l’improvisation
L’idée du Violon qui avait peur du vide est née d’une discussion entre Néry Catineau et le violoniste Sergey Malov autour de l’improvisation en musique.
Oser quitter les sentiers tout tracés et sécurisants des partitions pour se jeter à corps perdu dans l’inconnu de l’improvisation, c’est ce que le jeune Violino va devoir affronter dans ce conte initiatique.
La musique du conte, composée par Thomas Nguyen, a donc été conçue sur ce principe de liberté d’improvisation : elle part de la musique "savante" pour ensuite laisser des espaces d’improvisation à Sergey Malov.