En cas de doute persistant après l’application de la technologie, l’esprit du jeu pourrait prévaloir. Stéphane Breda : " Plutôt que de s’enfermer dans l’analyse impossible d’une ligne 3D tracée au millimètre, comme lors de Standard-Cercle, on pourrait examiner si le joueur tire véritablement avantage de sa position hors-jeu (ou pas). La règle existe déjà pour l’attaquant situé derrière la défense… mais dont on ne tient pas compte s’il ne participe pas à la phase : alors, pourquoi pas dans le cas de Moussa Sissako samedi ? Objectiver pour la ligne 3D une zone de tolérance sur, disons, 10 cm ne me semble pas pertinent car il y aura toujours débat si la phase se joue à 11 ou à 9 cm… et ce sera un foutoir monumental ! (sic) Je prônerais plutôt une règle d’interprétation liée à l’esprit du jeu, du type ‘en cas de doute raisonnable, on donne l’avantage à l’attaque’… Ou, comme on l’a dit, si le joueur tire véritablement profit de sa position pour aller marquer. "