Se tenant avec les autres signataires de la "Déclaration de Los Angeles", alignés devant une rangée de drapeaux, il a affirmé que l'immigration "sûre" et "légale" bénéficiait au développement économique, mais jugé également qu'il fallait "protéger les frontières" contre les entrées illégales, avec "humanité".
Joe Biden veut poser le principe d'une "responsabilité partagée" entre Etats sur un sujet qui lui vaut des attaques constantes de la droite américaine.
La "Déclaration de Los Angeles" recouvre divers engagements ou rappels d'engagements passés, en termes d'accueil de migrants et de régulation des flux, mais n'a pas de dimension contraignante.
Le texte, diffusé par la Maison Blanche, a été signé par l'Argentine, La Barbade, le Bélize, le Brésil, le Canada, le Chili, la Colombie, le Costa Rica, l'Equateur, le Salvador, le Guatemala, Haïti, le Honduras, la Jamaïque, le Mexique, les Etats-Unis, le Panama, le Paraguay, le Pérou et l'Uruguay.
Joe Biden a espéré vendredi que "d'autres pays verront le potentiel" de ce partenariat qu'il a qualifié d'"historique".