Le Service général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) de la Défense, qui mettra l'an prochain en œuvre un plan d'actions pour remédier aux manquements révélés par l'affaire Jürgen Conings, se présente comme la "première ligne de défense" du pays.
"En coopération avec les autres acteurs, nationaux et internationaux, du monde de la Sécurité, le SGRS a pour but de garantir la sécurité de la population belge, y compris les ressortissants belges à l'étranger", indique le service de renseignement militaire sur son site internet.
Il explique "appuyer en continu les opérations militaires, de la phase de préparation à leur exécution" en fournissant à ses "clients" - principalement les services du Premier ministre et les ministères et SPF de la Défense, des Affaires étrangères, de l'Intérieur et de la Justice - "des renseignements au bon moment, adaptés à leur besoin et utilisables/exploitables".