Ils étaient une centaine de personnes membres du service d’aide à la jeunesse à s’être rassemblés ce matin devant le cabinet de Valérie Glatigny, ministre en charge de l’Aide à la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Ce secteur lance un cri d’alarme et ce n’est pas la première fois, mais rien ne change. Il manque toujours des places d’accueil, les budgets ne suivent pas.
Éducateurs, directeurs d’institutions ou encore de services d’aide à la jeunesse, ils dénoncent une situation intolérable. Près de 500 jeunes victimes de violence physiques et psychologiques sont en danger à Bruxelles. Ils devraient être retirés de leur famille biologique, mais il n’y a plus aucune place aujourd’hui pour eux.