Il y a un an, les militants avaient distribué 70 000 exemplaires d'un journal satirique qui imitait le journal gratuit Métro. Ils voulaient dénoncer les coupes budgétaires à la SNCB.
L'entreprise qui possède le Métro a estimé que cela lui portait préjudice.
Devant le Tribunal de Première Instance, les militants de Tout autre Chose ont plaidé pour leur droit à la liberté d'expression.
La plainte de Métro a finalement été déboutée. La juge a considéré que le quotidien n'avait pas subi de dommage.