Pendant un an, 25 citoyens belges ont eu carte blanche pour créer une exposition au musée BELvue.
Chaque jour, les 7 décrochages régionaux de Vivacité mettent un coup de projecteur sur la presse locale. La RTBF vous propose le regard et la plume des journalistes de terrain, en Wallonie et à Bruxelles dans le cadre "#Restart", le plan de la RTBF lancé en soutien à la culture et aux médias, secteurs durement touchés par la crise du Covid 19. Ce jeudi, Julie VanH recevait Pierre Jassogne d’Alter Echos.
Tout cet été, le musée BELvue accueille l’exposition temporaire "C’était mieux demain" qui interroge le patrimoine légué aux futures générations. Le projet est un peu particulier : pas de commissaires d’exposition ordinaires, mais des Belges de tout âge et de tout horizon, sans aucune expérience muséale. "Le projet a rassemblé une vingtaine de citoyens belges : des Flamands, des Wallons et des Bruxellois.", explique le journaliste Pierre Jassogne. L’idée derrière la démarche du musée BELvue est de faire tomber les barrières entre lui et son public.
►►► Découvrez l’article d’Alter Echos dans son intégralité : " C’était mieux demain "
"La vingtaine de participants s’est interrogée sur ce qu’est le patrimoine belge aujourd’hui et ce qu’il sera demain.", relate le journaliste. Et ce patrimoine, ce ne sont pas que des bâtiments historiques : "L’exposition interroge les manifestations, l’alimentation ou encore les monnaies qui ont beaucoup évolué ces dernières décennies".