- Il est important de faire un bilan, un état de départ, savoir où on en est par rapport aux difficultés mais aussi aux forces qu’on sous-estime souvent.
- Quel parent je suis et souhaiterais être ? Dans quelle direction je veux guider mes enfants tout en respectant leurs choix ?
- On parcoure ce guide avec un carnet de route que l’on complète pas à pas, au fil des exercices.
- Le coaching permet un regard autre, extérieur qui est constructif, enrichissant.
Etre parent, c’est l’art imparfait de transmettre son amour et son savoir
- Le cadre, les règles, les limites : il n’y a pas d’école qui nous apprend à être parents. Dites à vos enfants de vous aider, ça permet d’éviter bien des frustrations, le trop de pression, la responsabilité. En négociant on prend en compte les besoins de chacun. On co-construit en considérant les besoins respectifs. Parler de nos vrais besoins, c’est moins frustrant que d’entrer dans une colère inexpliquée. Poser des cadres c’est aussi faire une sorte de contrat. "Nous allons jouer mais pour telle durée, tel moment,…" On donne du sens au cadre, pourquoi tel moment pour le jeu,… On explique le pourquoi.
La difficulté de poser des cadres peut venir de la difficulté de s’écouter soi-même, de se respecter, d’imposer des choses à l’enfant,…
On responsabilise l’enfant, on l’inclut dans la prise de décision en écoutant son désir dans un cadre définit. Ça part d’un dialogue pour voir si son besoin est réel ou une simple envie.
Souplesse ne veut pas dire manque de fermeté !
On prend du recul pour mesure la teneur des décisions, des perspectives. Qu’est-ce qui est important, on l’évalue au mieux.
- Formulez les choses positivement, s’autoriser à faire des erreurs et en faire aveu, ça met en confiance. Etre juste avec soi et son enfant, rester cohérent, adapter si cela fait sens.
- La communication non violente est aussi un outil constructif.
- L’écoute active, s’écouter l’un l’autre, l’authenticité, s’harmoniser à l’autre, s’adapter à l’autre c’est essentiel, fondamental. C’est un entraînement de sortir de nos projections, de s’en délester et d' accueillir alors le point de vue de l’autre.
- Rentrer dans le monde de l’enfant, c’est aller chercher quelqu’un là où il est. On s’intéresse, on se met à sa hauteur pour envisager ensemble des perspectives.
- Eveiller la conscience des parents sur le fait que nos enfants nous écoutent, nous observe, ça met la pression parfois mais on peut oser l’imperfection !
- Tout s’apprend par la répétition, mais aussi par nos échecs plus que par nos victoires parfois même. On opère des ajustements, on va de l’avant forts de ces apprentissages
- Etre patient, la notion du temps est si différente pour l’adulte et l’enfant. On vit dans une société où tout va vite, il est important de prendre le temps de se poser.
- Les projections de nos peurs, nos croyances, nos rêves,… On peut mettre toutes les rustines sur nos enfants, si nous n’avons pas réparer nos maux, on les transpose sur notre entourage. Imposer nos choix, ce n’est pas pertinent, respecter la liberté, les choix de notre enfant c’est important. L’ouverture d’esprit contribue positivement à l’autonomie de l’enfant, on s’ouvre à son monde, à sa perception, ses envies.
- Notre évolution est constante, il est un perpétuel champ de possible qui s’offre à nous, tout le temps, pas à pas.
C’est un voyage auquel invite ce livre avec 12 clefs pour prendre la vie du bon côté !