Suite à la campagne anti-fraude lancée par De Lijn, plainte avait été déposée devant le Jury d’Ethique Publicitaire (JEP). Une plainte selon laquelle cette publicité associait les jeunes d’origine immigrée aux fraudeurs.
Après avoir examiné le dossier le JEP estime, en première instance, que l’affiche en cause se limite à dépeindre une société diversifiée telle que voulue par l’annonceur, sans donc viser immédiatement un groupe de personnes particulier ni le mettre spécifiquement en relation avec le comportement répréhensible qu’il souhaite promouvoir dans sa campagne.
Elle considère donc que cette publicité ne vise pas à stigmatiser ou à discréditer un groupe particulier de personnes, ni à contrevenir aux Règles du JEP sur la représentation de l’être humain.