L’ère du covid a visiblement révolutionné notre manière de vivre, que cela soit dans la façon dont nous réglons nos additions ou simplement sur nos lieux de travail. En effet, une récente enquête, réalisée dans 10 pays, met en évidence que 57% des employés belges, soit plus d’une personne sur deux, ne respectent pas leur horaire de travail. Alors que ceux-ci étaient de l’ordre du sacré, et bien précisés sur chaque contrat afin d’attendre 38 heures, plusieurs sont ceux qui commencent et terminent plus tard ou plus tôt.
Cette flexibilité, synonyme davantage de libertés, se déroule très bien lorsqu’elle est appliquée dans un consensus mutuel entre l’employeur et l’employé, dans une relation de confiance. Dans le cas contraire, cela pourrait engendrer des dérives, des abus de la part de l’employeur ou du travailleur. Toutefois, il faut souligner que quand bien même les horaires ne sont pas fixes, les travailleurs veillent à compter leurs heures tout de même.