Les terres traitées présentaient des contaminations aux métaux lourds, huiles minérales et hydrocarbures, issues de l'activité industrielle passée du site. Une unité de lavage physico-chimique est utilisée afin de recycler les sols contaminés en matériaux de construction secondaires. D'une capacité de traitement de 70 tonnes par heure, cette unité permet de réduire significativement la teneur en polluants.
Le procédé de traitement génère également des granulats lavés à haute valeur ajoutée: un sable et une fraction plus grossière, tous deux lavés. Ainsi, 1.000 tonnes de terres contaminées génèrent 700 tonnes de granulats lavés, destinés localement au secteur de la construction. La boue générée est elle évacuée en centre d'enfouissement.