L'étude présente toutefois des limites, notamment le fait qu'elle ne peut pas prouver que le café lui-même réduit le risque de maladie hépatique chronique. Il est possible que d'autres habitudes des participants, alimentaires ou non, jouent ou aient joué un rôle dans le résultat.
Enfin, à tous ceux qui voudraient compenser de mauvaises habitudes par la consommation de café, qu'ils se ravisent. Selon Vanessa Hebditch, du British Liver Trust, même si cette étude s'ajoute à un nombre croissant de preuves que le café est bon pour la santé du foie, elle n'est pas suffisante : "il est important que les gens améliorent la santé de leur foie non seulement en buvant du café, mais aussi en réduisant leur consommation d'alcool et en gardant un poids sain en faisant de l'exercice et en mangeant bien", a-t-elle ajouté.