Il a expliqué à USA Today que le public vient en concert pour entendre les classiques des grands groupes. Il ajoute qu’il peut repérer sans peine quand un band joue un nouveau titre en live, parce que c’est le moment où le public s’assied. Donc il ne voit pas pourquoi Kiss devrait reprendre l’écriture. Il ajoute encore "les derniers morceaux que j’ai écrit sont excellents, mais c’est comme le vin. Il faut les laisser reposer avant qu’ils soient appréciés".
Un point de vue partagé par le reste de son groupe, notamment Gene Simmons, qui ne voit pas pourquoi il inciterait les autres à créer de nouveaux morceaux.
Dans une autre interview au media australien The Project, Paul Stanley a aussi expliqué l’origine du nom du groupe : "Je me disais qu’il fallait un mot simple, que l’on comprenne dans toutes les langues et qui soit facile à dire. Et puis "Kiss" peut avoir différents sens : un baiser passionné, ou le baiser de la mort. J’aimais bien l’idée des interprétations multiples. Et je suppose que c’était une bonne idée, non ? 48 ans plus tard, on y est toujours !"
Une autre explication avait été partagée précédemment, selon laquelle Paul Stanley avait proposé le nom Kiss après que Peter Criss, le batteur, a quitté son groupe précédent, appelé "Lips".
Son groupe a pourtant établi deux nouveaux records en janvier, officialisés par le Guiness Book des Records : la flamme la plus haute lors d’un concert (35 mètres de haut, excusez du peu) et le plus grand nombre de flammes projetées simultanément pendant un concert : Il y en a eu 73 lors de ce concert " Kiss 2020 Goodbye " !